(English) John Baxter est un écrivain célèbre, un critique du film, et un biographe. Il est auteur des mémoires La plus belle promenade du monde, Un fête fixé : Un Noel parisien, Nous avons toujours Paris, et, Le repas parfait : À la recherche des gouts perdus de la France, publié en février 2013. John Baxter est de l’Australie. Maintenant il habite à Paris, avec sa femme et sa fille, dans le même bâtiment que Sylvia Beach a habité.

Dès son déménagement en France, John a publié les biographies de Federico Fellini, Luis Bunuel, Steven Spielberg, Woody Allen, Stanley Kubrick, George Lucas, Josef von Sternberg, Robert de Niro et l’auteur J.G. Ballard. En plus, il a publié cinq livres d’autobiographie, ci inclus Une livre de papier : Des aveux d’un fou des livres. Ses livres plus récent sont Des reports détaillés du vieux Paris et Le salon parisien des hommes, une sélection de ses proses non rassemblés. Les translations de Morphine (Jean-Louis Dubut de la Forest) et Fumée d’Opium (Claude Farrère) font par John, ont été publiés par HarperCollins, le dernier sur le titre My Lady Opium.

PerfectMealFinalCoverJohn était le codirecteur du Atelier des écrivains à Paris et il est un maitre de conférence et un orateur. Dans son temps libre il cuisine et collectionne des livres, il a une grande collection des éditions originales modernes. Quand il n’écrit pas, on peut trouver John rôdant dans les bouquinistes au bord de la Seine ou cherchant sur internet pour des acquisitions nouveaux.

En 1974 John a été invité d’être un professeur de film à Hollins College dans la Virginie. Aux États Unis, il a collaboré avec Thomas Atkins sur The Fire Came By : The Great Siberian Explosion of 1908, un livre du science spéculatif qui a gagné beaucoup du succès. Dans ce période, John a écrit aussi une étude sur le metteur sur scène King Vidor, et deux romans, The Hermes Fall et Bidding. (John Baxter: Facebook / Website )

The Perfect Meal: In Search of the Lost Tastes of France (Le repas parfait : À la recherche des goûts perdus de la France)

« Certains gouts, complexes et vénérés, sont en danger de disparaître comme des traditions vieux de l’agriculture, de boucherie, et de cuisiner sont oubliés. Dans ces mémoires de cuisine et de voyage si charmant, John Baxter continue après son best seller Most Beautiful Walk in the World (La plus belle promenade du monde) en prenant ses lecteurs sur un chasse pour les repas délicieux et étranges qui sont en voie d’extinctions en France. » -HarperPerennial

« Un conte pimenté et plein d’humour, du culinaire et l’histoire littéraire d’un nation qui est défini par son gastronomie… Ce conte fait parti des histoires qui intriguent la psyché, séduisent les sens, et grandissent le cerveau au même temps. » -Publishers Weekly

INTERVIEW

The Perfect Meal: In Search of the Lost Tastes of France

AWP : Pourquoi est-ce qu’aujourd’hui est le bon moment pour publier votre livre, Le repas parfait ? Ressentiez-vous le besoin de partager un moment et un lieu particulier dans le style d’aujourd’hui ?

JB : En 2010, UNESCO a déclaré le repas français un aspect de « héritage immatériel de genre humain, » et donc, quelque chose précieux qui doit être protéger.

La décision n’était pas une surprise, la nourriture mexicaine et l’alimentation méditerranéenne ont été honorées plus tôt dans la même façon. Mais je le trouve ironique.

Les tacos et les tortillas sont ordinaires aujourd’hui, même en France, et la cuisine méditerranéen avec son l’huile d’olive, ses tomates, l’ail, et les herbes frais est même plus courant. Mais le repas décrit par UNESCO, une soirée formelle avec plus de dix invitées, normalement pour fêter un mariage, un retrait, ou un honneur, avec plusieurs plats, du vin, un apéritif avant le repas, un digestif après, a été peu commun, au moins dans les grandes villes françaises comme Paris, Lyon, et Bordeaux. Les restaurants de la ville n’ont plus l’espace, les employées, ni l’expertise pour des repas si détaillés.

J’ai décidé de deviner si la cuisine traditionnelle existe encore à la France profonde. Comme un symbole du festin honoré par UNESCO, j’ai choisi le bœuf ou le bouvillon à rôtir entier. Dans un certain temps c’était un événement normal mais maintenant, c’est presque inconnu. Si je pourrais trouver et assister à un rôti de bœuf je pourrais dire que le repas français était toujours vivant. Et comme j’écris dans Le repas parfait, j’ai réussi. Le livre est fini avec le partage d’un bœuf rôti entre ma femme et moi et 500 autres personnes à Picardie.

AWP : Vous alliez sur une quête pour déguster les derniers plats français avant qu’ils disparaissent complètement, des établissements de haute cuisine à Paris, aux petits restaurants locaux qui servent encore les plats traditionnels de la Provence, de Normandie, et du Côte d’Azur. Ses régions sont tous très différents, pourquoi est-ce que vous les en écrivez ensemble ?

JB : Ce n’était pas seulement les plats individuel qui ont disparu de la vie français dans les centres mais le tradition du repas : le fait que les membres de la famille ou d’un groupe viennent ensemble pour fêter un expérience commun, comme le Thanksgiving aux États Unis, ou le Noel anglais.

Un fête fixé : Un Noel parisien a décrit l’expérience d’entre par mariage dans une vielle famille française, dans laquelle personne ne peuvent pas cuisinier, parce qu’ils sont tous des écrivains, des peintres, ou des intellectuels. À cause de cela, moi, un australien, sans connexion naturelle au pays français, a pris charge de cuisiner le repas de Noel pour 20 personnes. Cela me semble une grosse ironie, quelque chose qui a mérité plus de exploration.

AWP : Quel aspect aimez-vous le plus de chaque région ?

JB : J’étais plus étonné par le collective que l’individuel. J’ai appris que, quand on descend de l’autoroute et conduit vers le campagne, on peut entre dans le passé, revenir par un siècle ou plus. La vie roule moins vite ici. Les personnes sont plus respectueuses des traditions et des rituels.

Cela applique aussi à la nourriture. Les restaurants de la campagne, sans souci des loyers haut, peuvent accueillir des groups nombreux. Il y a des grandes églises qui peuvent accueillir des festins, souvent présenté par la ville soi même. Rien à Paris ou à Lyon ne peut comparer à un aïoli en Provence, où un village entier vient ensemble pour manger du poisson cuit à la vapeur avec du aïoli, ou à un sardinade, où ils rassemblent aux tables longues au centre ville pour manger des sardines frais grillés.

AWP : C’est quoi exactement, la France et la nourriture ?

JB : Chaque pays a sa propre façon d’établir une hiérarchie, et de la montre à tous. Pour certains, on peut gagner un place plus haut en possédant plus en plus : des maisons, des voitures, des bateaux. Certains jugent le statut d’une personne par leur accent, leurs études, un uniforme, ou un rôle dans les affaires publiques. Des autres fondent leurs opinions sur la famille, le plus vieux le nom de famille et le fortune, le plus distingué.

En France, la nourriture est une façon de juger quelqu’un. Traditionnellement, c’était seulement les nobles qui mangeaient de la viande. Les paysans mangeaient les céréales et les racines. S’ils avaient la viande, c’était du gibier, gros et coriace. Leur pain était lourd et fonce, avec du seigle ou millet, pas du blé. À cause de cela, si un français dit « il mange de la viande chaque jour » ou « il mange du pain de blé » il indique le succès.

D’après ce tradition, la plus riche et la plus distingue la famille, le plus rare et raffiné son nourriture. Un filet de veau sans gras, une purée des pommes de terres, des haricots verts, un bon vin, un peu de camembert ou brie, cela est le repas typique dans les meilleures maisons. Des soupes fort et des ragoûts, le saucisson et les fromages plus mur qui se sentent mauvais, mont qu’on est toujours un paysan au cœur.

AWP : Pendant vos recherches pour le livre, est-ce qu’il y a un endroit où vous refusiez d’y aller ? Une cuisine que vous ne gouteriez pas?

JB : Je ne pouvais pas manger dans chaque région de la France, il ne serait pas du temps pour écrire, et mon corps arrêterait entièrement avant la fin de mes recherches.

Je me promettais que je visiterais les quatre coins de la France, de Picardie à Normandie au nord, et les deux limites de la côte méditerranéenne. Pour moi, Paris était une ville connue et comme nous avons une maison à Charente, sur la côte atlantique, j’ai déjà connu cette cuisine.

Je me limitais en plus en créant un menu du « repas parfait » en utilisant les plats que j’ai découvert. Il était possible que le repas n’existe pas en réalité, mais le menu serait inclus dans le livre, avec des recettes, pour que les lectures puissent manger quelques plats chez eux.

Dans chaque cas, je voulais visiter la région avec un ami, quelqu’un qui peut donner une autre perspective sur ce que nous mangions. Cela exigeait un peu de préparation, et la disponibilité des individus dictait où et quand je voyageais. Par exemple, un ami m’a invité de rester quelques jours chez lui dans les montagnes de Cannes et Antibes. C’était une opportunité incroyable, et mon temps chez lui a inspiré un de mes chapitres préférés. Mais, à cause de mon voyage à Cannes je ne pouvais pas aller à Alsace, près de l’Allemagne, pour goûter la choucroute et le saucisson. Je le prends en tête pour un autre livre.

Aucun plat était exclus parce qu’il me semblait dégoutant. J’ai même mangé le lamprey, un type d’anguille/poisson/ver qui est préparé dans une sauce fait de son propre sang (pas une partie de mon menu original, sans aucun doute). Quelques plats, même s’ils ont été délicieux, ne marcher pas pour un repas formel. Par exemple, le socca, un crêpe fait avec du blé au pois chiche, du l’huile d’olive et de l’eau. Je l’ai mangé avec mes mains, tout juste sortie du four, chez un marché à Antibes. On ne pourrait pas le servir à table.

AWP : Est-ce qu’il y a des choses inexploré dans la cuisine française que vous essayez de découvrir dans votre travail maintenant ?

JB : J’ai su déjà qu’en France, la nourriture et la vie sociale sont intimement liées, mais le recherche pour Le repas parfait était un rappel fort du extrait du Bible « Il est mieux d’avoir un repas des herbes qu’un bœuf dans un stalle où l’amour se trouve .» Autrement dit, un repas simple avec des amis est mieux que le banquet le plus plantureux.

ECRIRE

AWP : Votre carrière vous conduit vers la science-fiction, les romans policiers, et les biographies à journalisme des arts, au radio, à la télévision et comme professeur de film, au monde des mémoires autobiographiques. Qu’est-ce qui vous a inspiré d’avoir une carrière si dépendant sur les mots et sur la capacité des personnes à communiquer ?

JB : J’ai posé au réalisateur italien, Mario Bava, comment il peut créer des films d’horreur si vrai. Il a dit simplement, « je suis un homme qui a peur. » Quand il dort seul, il mit du papier froissé autour du lit pour lui mettre en garde si quelqu’un entre pendant qu’il dort.

Dans la même façon, je suis né timide. Mon enfance était chaotique. Nous avons déménagé souvent, je n’ai pas eu beaucoup d’amis. Lire et aller au cinéma étaient des échappatoires. Lorsque j’avais dix sept, dix huit ans, j’ai écrasé ma timidité et mon inquiétude avec des autres. J’ai découvert que j’étais un bon écrivain, et que j’ai du talent avec l’art oratoire. En prenant charge de ces talents, j’ai trouvé une carrière.

AWP : Comme un expatrié qui habite à Paris, où est-ce que vous vous trouvez dans le domaine de littérature des expatriés ?

JB : Des écrivains viennent en France pour des raisons différentes. Henry James et Edith Wharton sont venus dans le 19ème siècle parce que il était commun pour les riches des autres pays de passer du temps la. Paris était vu comme l’incarnation de bon goût. Les deux ont apprécié la vie en France et y ont trouvé un sujet.

Les écrivains qui y ont démangé après le premier guerre mondiale étaient totalement diffèrent. La plupart, comme Hemingway, Henry Miller, etc. étaient pauvres. Pour eux, Paris était la ville où, si on doit souffrir de la faim dans une mansarde pendant qu’on créé un réputation comme écrivain, on pourrait survivre pour plus de temps à Paris que dans une autre ville civilisée.

Les expatriés des années 50 et 60, de maniéré prédominant Afro-Américain ou « beatniks » étaient en train de fuir quelque chose : le préjugés raciaux, les lois contres les drogues, la guerre de Vietnam. Ils ont écrit à Paris mais ils ont rarement pris Paris comme sujet.

Quand j’y suis venu en 1989, la communauté expatrié se composait des arrivants passionnés qui ont tombé amoureux avec la mythologie des années 20 et 30, et des personnes aisé et bien établis, les auteurs professionnels, les journalistes, et les intellectuels qui exploitaient le culture français pour les anglophones. Aujourd’hui c’est presque le même, sauf que les passionnés sont plus passionné, et les personnes aisées sont plus aisées.

AWP : Votre travail a gagné beaucoup de reconnaissance, en particulier votre livre La plus belle promenade du monde. Cet expérience a changé votre vie comment ?

JB : Belle promenade ne changeait pas grande chose. Des autres livres ont eu plus de succès : The Fire Came By vendait des millions de copies, était largement traduit, et filmé, et mon biographie de Robert DeNiro était bien reçu. Mais, c’est vrai que je suis plus reconnu à Paris pour Belle promenade. Des gens m’arrêtent dans les rues pour me dire qu’ils l’aimaient beaucoup et j’ai plus de clients pour les promenades littéraires que je peux en s’occuper.

AWP : Votre première roman, The God Killers, était publié en 1969 aux Etats Unis et en Angleterre. Vous avez commencé d’écrire des livres sur le cinéma, des gangsters et le genre de film science fiction. Qui est considéré l’écrivain le plus important de ses genres dans le passé ? Pourquoi ?

JB : All Things Considered de National Public Radio (la radio du publique national) m’a posé cette question il y a du temps, et j’ai répondu, au moins pour la science fiction, avec un hommage à un de mes écrivains préféré de science fiction et son meilleur roman. Je ne crois pas que je peux l’améliorer : NPR.ORG

AWP : Quels phénomènes culturels contemporaines, croyez –vous, intéresseraient les auteurs du question précédent?

JB : Les romans policiers d’aujourd’hui sont préoccupés avec des tueurs en série. Je trouve les romans inspirés par ce thème si banal que des romans policiers prévisible des années 20. La science fiction est abattue. Le fantastique est roi aujourd’hui, un genre que je n’ai jamais apprécié beaucoup.

AWP : Vos mémoires, La plus belle promenade du monde, Un fête fixé : Un Noel parisien, et Nous avons toujours Paris, ont eu un effet énorme sur les francophiles et les voyageurs en France. Pourquoi est-ce que les lectures s’identifient si fort avec vos livres ?

JB : Comme j’explique dans Belle Promenade, j’ai commencé à diriger des promenades comme partie du Paris Writers Workshop (atelier des écrivains à Paris), ou j’étais codirecteur avec Marcia Lebre. C’était clair, toute de suite, que les visiteurs ne voulaient pas une leçon. Ils préféraient de traîner avec quelqu’un qui pouvait répondre aux questions et qui pouvait les introduire à la ville dans un maniéré détendu. Ils voulaient un ami à Paris. J’essaie d’écrire mes livres sans écrire un guide touristique. Parfois, la meilleure façon de connaître un endroit est de rester et regarder, mais regarder réellement.

AWP : Originaire de l’Australie, en 1990, vous avez rencontré votre femme, le réalisateur Marie-Dominique Montel, et vous avez déménagé de Los Angeles à Paris où vous travailliez comme scénariste et journaliste du film. Quelques personnes sont prédisposés, dans leur propre façon, vers la France : par la fantasme, la famille, ou un contexte culturel. C’était comme ça pour vous ? Si oui, comment ?

JB : Je ne suis pas sure si c’est vrai. Je n’étais pas prédisposé vers la France. C’est vrai que je voulais quitter l’Australie, mais je voulais habiter à Los Angeles. J’y habitais et je suis très content, quand j’ai rencontré ma femme, et je l’ai suivi en France, un pays que je ne connaissais de tous. Je ne parlais pas plus de quelques mots de français.

Il n’y a pas beaucoup des expatriés qui vivent comme un français. Je suis rare parce que je me suis entré dans une famille française par mariage. La plupart des expatriés ont des compagnons de leur propre nationalité. Beaucoup plus sont célibataire. La majorité sont venus en France pour vivre un rêve. Dès qu’ils voient que, des toutes les cultures européens, celle de la France est la moins encline au fantasme, ils partent.

AWP : En plus d’être un étudiant de l’histoire et culture française, de la littérature et la cuisine, quels aspects de la culture française adoptez-vous ? Dans quels domaines êtes vous prendre une esthétique similaire ?

JB : Les français sont très formels. La mode des adresses, des vêtements, et comment on se comporte est très importants. C’est facile d’offenser quelqu’un ou de faire quelque chose qui n’est pas convenable. La politesse est un concept important. Les situations sont soumises par la règle de « comme il faut. » Je l’ai appris par tâtonnement, et puis je commençais de le prendre du plaisir dans la précision. Il y a un élément du jeu en faisant ou disant quelque chose correctement, et personne ne joue comme les français. On peut comprendre comment ils sont devenus les diplomates géniaux et pourquoi le français est la langue de la diplomatie.

AWP : Parlez de votre cuisine, de vos habitudes alimentaires et de vos traditions.

JB : Une question difficile parce qu’un repas comprend de plusieurs ingrédients, et seulement quelques sont de la nourriture.

Mon premier repas chez le Tour d’ Argent me frappe. De la salle, on peut voir la Seine, une vue incroyable pendant la nuit. Nous avons mangé le canard, la spécialité, précédé par un ravioli du homard dans une sauce de fois gras.

En Australie, un restaurant très fine était Berowra Waters Inn du chef Gai Billson. C’était assez impressif pour sa location et sa conception comme pour sa nourriture. Le bâtiment était crée par Glenn Murcutt, un destinataire du Pritzker Award. On arrivait en bateau ou par hydravion privé. Le menu avait compris l’oreille du cochon farcis avec une sauce ravigote et la peau d’un cou d’oie farcis du canard et servi avec une sauce orange.

Des repas que je cuisinais moi-même, je me souviens un déjeuner que j’ai préparé pour quelques éditeurs et agents anglais qui sont venus à Paris pour le lancement de Nous avons toujours Paris. J’ai fait du bœuf rôti dans une sauce épais, une purée des pommes de terres et la racine du cèleri enrichi avec le jaune d’œuf et le crème, suivi d’un fromage Vacherin et des poires Passe Crassane frais, un duo classique dans le cuisine français, possible seulement dans quelques semaines quand les poires sont de saison.

AWP : Décrivez votre Paris.

JB : Nous avons la chance d’avoir un appartement dans le centre ville. De notre terrasse, nous pouvons voir Notre Dame et le Sacré-Cœur au sommet de Montmartre. Le jardin du Luxembourg est cinq minutes à pied.

Nous habitons, en effet, dans l’équivalent d’un hôtel cinq étoilé. Cela, fait du grand plaisir. Je peux voir, chaque matin, le lever du soleil derrière les tours de Notre Dame, je peux marcher dans le Luxembourg à Montparnasse, en passant l’appartement qui a appartenu à Gertrude Stein. Je peux déjeuner à La Couple avec ses histoires de Hemingway, Fitzgerald, Man Ray, Dali, Aragon et Kiki de Montparnasse. Notre bâtiment soi même est un site littéraire. Sylvia Beach y habitait quand elle a dirigé Shakespeare and Company, et tous les génies des son époque l’ont rendu visite.

AWP : Dites-nous un livre, film, chef d’œuvre, pièce de music ou de la mode ou de la cuisine qui vous a inspiré.

JB : À la recherche du temps perdu (en anglais Remembrance of Things Past), ou In Search of Lost Time de Marcel Proust.

AWP : Quel est le dernière livre qui vous avez lu ? Le recommanderiez vous ?

JB : Je suis en train de lire Capital de John Lanchester. Jusqu’à présent c’est fascinant. J’habitais à Londres pendant 14 ans et il y a une intensité pour moi dans l’image de la collapse de la classe moyenne et de la bourgeoisie dans une avalanche d’avidité, préjugé, stupidité, et malveillance.

AWP : Votre passion pour la vie est extraordinaire. Qu’avez vous prévue de faire ensuite ?

JB : Mon grand-père était un soldat en Europe pendant la première guerre mondiale, j’ai écrit un livre de ses expériences, et les changes qui ont détruit la belle époque et marquer l’entré des années folles. Il s’appelle The Last of the Wine. Harper Perennial le publiera avec le centenaire de la première guerre mondiale en 2014. J’organise un complémentaire de La plus belle promenade. Chronicles of Old Pairs est vendu si bon que Museyon parle d’un Chronicles II.

DES LIVRES DE JOHN BAXTER

The Perfect Meal: In Search of the Lost Tastes of France. Harper Perennial, 2013
Amazon / IBookstore / Barnes&Nobel / INDIEBOUND / Books-A-Million

The Most Beautiful Walk in the World: A Pedestrian in Paris. Harper Perennial, 2011

Chronicles of Old Paris: Exploring the Historic City of Light. Museyon Guides, 2011

Immoveable Feast: A Paris Christmas. Harper Perennial, 2008

We’ll Always have Paris: Sex and Love in the City of Light. Harper Perennial, 2006

A Pound of Paper: Confessions of a Book Addict. St. Martin’s Griffin, 2005

Remerciements: Nous sommes reconnaissants aux personnes suivantes pour avoir rendu cet entretien possible : Nous sommes reconnaissants envers Elyse Rozina, Rédactrice en Chef de traduction à A Woman’s Paris, étudiante du français et de l’italien à l’Université de Minnesota Twin Cities, pour avoir rendu cette traduction possible.

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A Woman’s Paris — Elegance, Culture and Joie de Vivre

Nous sommes captivés par les femmes et les hommes qui utilisent leur discipline, esprit et ingéniosité de faire leur propre chemin et qui sont excellent dans ce que les Français appellent la joie de vivre ou de «l’art de vivre. » Nous sommes en admiration de ce qu’ils occupent leur vie. Les esprits libres qui inspirent à la fois l’admiration et la confiance.

“La mode n’est pas quelque chose qui existe dans les robes seulement. La mode est dans le ciel, dans la rue, la mode doit se faire avec des idées, la manière dont nous vivons et de ce qui se passe.” – Coco Chanel (1883-1971)

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